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Légendes de gauche à droite :
1/ Christel Valentin, Ressource épuisée. Photographie de Benjamin Etcheguarray.
2/ Christel Valentin, Le Palais de l’Élysée de la série des Palais de verre. Photographie de Benjamin Etcheguarray.
3/ Christel Valentin, La Méduse n° 16. Photographie de l'artiste.
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extrait du communiqué de presse :
La Galerie Schumm-Braunstein a déjà eu le plaisir d’exposer ses oeuvres, en 2011, avec A fresco et, en 2013, avec Portraits | Pylônes et d’éditer deux livres de dialogue, Visage | Rivage avec un texte inédit de Michel Butor et Pylônes | Pylônes avec une citation de William Faulkner. Et c’est de nouveau avec un immense plaisir qu’elle propose sa troisième exposition personnelle, Ressource.
Depuis vingt ans, le travail de Christel VALENTIN se développe autour de la question de la place de l’être humain dans notre monde contemporain. Le point de départ du travail de l’année 2014 : une peinture, Ressource épuisée. Avant d’être un moyen pécuniaire ou matériel, la « ressource » est un moyen permettant de se tirer d’embarras ou d’améliorer une situation difficile. Il nous faut prendre cette définition au mot. Ayant eu l’envie d’échapper un moment aux questions de société, l’artiste a décidé de plonger, de se laisser flotter dans un univers autre, avec la série des dessins des Méduses. Puis a suivi celle des Palais de verre. Évidemment ce sont deux séries par lesquelles l’artiste aborde encore et peut-être plus justement que jamais les questions qui lui tiennent à coeur. Avec son trait, délicat, suspendu, avec son jeu sur le caractère fluctuant de la lumière, avec des inventions de matières, Christel VALENTIN fait plus que se (nous) tirer d’affaire. Elle nous sidère par son exigence et sa rigueur et par son savoir-faire magistral : grâce absolue, superbe justesse du trait, intensité et profondeur infinie de la peinture.
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