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“Roberto Greco” Bruit Blanc
à la Galerie Madé, Paris

du 16 mars au 29 avril 2017



www.galeriemade.com

www.grecoroberto.biz

 

© Anne-Frédérique Fer, visite de l'exposition le 16 mars 2017.

2109_Roberto-Greco2109_Roberto-Greco2109_Roberto-GrecoLégendes de gauche à droite :
1/  Roberto Greco, série Morbidezza, courtesy Galerie Madé. © Roberto Greco.
2/  Roberto Greco, série After still life, Budgie and Pomegranate, courtesy Galerie Madé. © Roberto Greco.
3/  Roberto Greco, série Morbidezza, Humus, courtesy Galerie Madé. © Roberto Greco.

 


2109_Roberto-Greco audio
Interview de Roberto Greco,
par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 17 mars 2017, durée 10'30". © FranceFineArt.

 


extrait du communiqué de presse :

 

Roberto Greco porte sur le réel un regarde teinté d’émerveillement qu’il traduit à l’aide de métaphore et d’onirisme flamboyant.

Souvent bien plus complexes qu’il n’y paraît au premier coup d’oeil, ses images laissent transparaître une grande culture iconographique, celle de la peinture notamment. Roberto Greco n’est pas non plus avare de détails humoristiques voire quelques fois cyniques qui permettent une distanciation avec les stéréotypes et les références artistiques.


L’exposition Bruit Blanc rassemble 3 séries photographiques: After Still Life, MORBIDEZZA, Flowers.


À travers la série After Still Life, l’artiste revisite le procédé de la Nature morte. Le récit se dévoile peu à peu, l’écho est perceptible dans l’ensemble des images, le spectateur qui s’aventure dans cet univers est aidé à se forger sa propre interprétation par les plus infimes détails, parfois juste en suivant le bourdonnement d’une mouche...

Les images de la série MORBIDEZZA sont quant à elles une évocation de l’alliance de la beauté de la nature et de son intrinsèque cruauté. Faussement simple, cet « herbier animal » dévoile des figures graphiques, où le morbide est sublimé, et où l’action paraît figée sur des scénarios tragiques offerts à notre libre interprétation.

Enfin Flowers est une série inspirée par les lectures consacrées à l’oeuvre d’Emily Dickinson et la passion de la poétesse pour la nature, en particulier le monde végétal qu’elle collectait dans son herbier, et son amour pour les oiseaux. En flirtant avec les frontières de l’abstrait et l’imaginaire, les oiseaux photographiés laissent place à de surprenantes évocations florales.

(Extraits des textes de Marco Costantini)