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“Les Rencontres de la photographie” Arles 2019 - édition 50
à Arles

du 1er juillet au 22 septembre 2019



www.rencontres-arles.com

 

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Légendes de gauche à droite :
1/  Gundula Schulze Eldowy, série Berlin par une nuit de chien, Berlin, 1987. Avec l’aimable autorisation de l’artiste. Exposition Corps impatients Photographie est-allemande, 1980 - 1989.
2/  Germaine Krull, Les enfants passent la ligne, fête de Neptune sur le Capitaine-Paul-Lemerle, l’assesseur guide un des enfants. Exposition Germaine Krull & Jacques Rémy, un voyage, Marseille - Rio 1941.
3/  Office national des recherches scientifiques et industrielles et des inventions, Cornets acoustiques pour le repérage des avions de Georges Mabboux, 31 mai 1935. Collection CNRS, A_3264. Exposition La Saga des inventions.

 


 

à Sam…

Sam Stourdzé vous êtes directeur des Rencontres de la photographie d’Arles, où 2019 s’affiche comme une édition particulière. Avec l’accroche 50 ans, 50 expos, le festival fête ainsi sa 50e édition, une édition qui a commencé au 1er juillet et qui se poursuivra jusqu’au 22 septembre.

À l’origine de ce festival, de ces rencontres autour de la photographie, il y a trois hommes, Lucien Clergue, Jean-Maurice Rouquette et Michel Tournier où je le rappelle Arles fut le centre de toutes les avant-premières photographiques.

Il y a d’abord, en 1965, la création de la première collection de photographies dans un musée français des beaux-arts avec le musée Réattu. Il y a bien sûr le festival où en 1970, la première édition s’est tenue dans la salle d’honneur de l’Hôtel de Ville. Et il y a aussi l’ENSP, l’école nationale supérieure de la photographie, créée en 1982, qui ce 1er juillet, avec sa nouvelle directrice fraîchement nommée Marta Gili, a inauguré le nouveau bâtiment dessiné par l’architecte Marc Barani.

Dans l'écriture de cette histoire où notre société contemporaine est envahie par les images, il y a bien sûr des hommes et des femmes qui empreints de leur passion pour ce médium qui permet de mécaniquement capturer les traces du monde, on su regarder, décrypter les signes, pour transmettre leur passion de la photographie.

Cher Sam, vous le savez, nous n’avons pas la possibilité de parler des 50 expositions de cette 50e édition... Qui sont en réalité cinquante et une. Alors pour dessiner l’édition d’une manière globale, dans ce désir de rendre hommage à ces personnalités qui ont construit et écrit la photographie, on va retrouver des expositions hommages et une relecture de l’histoire de la photographique, mais la 50e édition du festival n’est pas que ancrée dans le passé mais aussi dans le présent et ouverte sur le futur.

Anne-Frédérique Fer, rédatrice en chef de FranceFineArt.

 


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Interview de Sam Stourdzé, directeur des Rencontres d’Arles,
par Anne-Frédérique Fer, à Arles, le 7 juillet 2019, durée 2'58". © FranceFineArt.

 


extrait du communiqué de presse :

 

Hubert Védrine, président des Rencontres d’Arles
Sam Stourdzé, directeur des Rencontres d’Arles



50 ans de photographie
par Hubert Védrine, président des Rencontres d’Arles

Cet été, les Rencontres d’Arles vont célébrer en beauté leur 50e édition. Les festivités commenceront pendant la semaine d’ouverture et se prolongeront jusqu’en septembre pour notre plus grand plaisir et le vôtre. Nous nous réjouissons que se joignent à la fête d'autres villes et d'autres institutions dans le cadre de la riche programmation du Grand Arles Express. Saluons l’arrivée des nouveaux venus, de Port-de-Bouc (No Fish No Future d’Anne-Catherine Becker-Echivard) à Cavaillon (Le Luberon de Willy Ronis), en passant par Marseille (deux expositions à la Friche la Belle de Mai et une au Centre photographique de Marseille), Toulon (musée de la Marine), Nîmes (musée du Vieux Nîmes). Merci au Frac PACA, au MuCEM, à Carré d’Art de Nîmes, à l’Hôtel des Arts de Toulon, et à la collection Lambert à Avignon de continuer à être à nos côtés pour porter haut, ensemble, les couleurs de la photographie.

Atteindre les 50 ans, c’est aussi l’occasion de faire le point sur notre histoire, nos archives et nos collections. Depuis près de deux ans, nous inventorions nos archives photographiques et audiovisuelles et pas loin de 300 000 pièces ont déjà été répertoriées. Un minutieux travail de récolement a permis de mettre au jour notre exceptionnelle collection de 3 300 photographies, qui ont ensuite été indexées puis numérisées. Cet été, la collection, déposée au musée Réattu, sera mise en ligne et continuera virtuellement la tâche qui nous tient à coeur depuis nos origines : promouvoir les oeuvres des photographes que nous avons défendus et qui nous ont fait confiance.

Les Rencontres d’Arles, c’est aussi et surtout 50 ans d’une magnifique aventure humaine, entreprise par Lucien Clergue, Jean-Maurice Rouquette et Michel Tournier, un festival créé par des photographes pour des photographes. Aujourd’hui, c’est toujours une histoire d’amitié et de passion au service des photographes, qui s’est étoffée petit à petit. Au fil des ans s’est également inscrite dans l’identité des Rencontres d'Arles la volonté d’agir en faveur des personnes les plus éloignées de l’emploi sur le territoire. En embauchant pour l’accueil du festival, pendant six mois, des personnes en contrat unique d’insertion, les Rencontres d’Arles sont un acteur important de l’insertion par l’activité économique. En dix ans, près de 2 000 Arlésiens ont participé à ce dispositif proposant formation approfondie et travail sur le terrain et près de 70 % d’entre eux ont retrouvé dans l’année qui suit un emploi longue durée. Au plus haut de l’activité, près de 400 personnes oeuvrent ensemble pour la réussite du festival et pour faire connaître le travail de photographes et d’artistes qui changent notre regard sur le monde.

Je vous souhaite de profiter pleinement de ce festival et de cet anniversaire en découvrant les 50 expositions imaginées pour ces 50 ans.





Happy Birthday Les Rencontres ! par Sam Stourdzé, directeur des Rencontres d’Arles

En 2014, Lucien Clergue nous quittait. Il était le photographe arlésien par excellence, généreux promoteur de la photographie, trait d’union entre la France et l’Amérique. En 1974, il convainquait Ansel Adams – monument de la photographie californienne – de se rendre à Arles pour y donner une masterclass. À cette époque, le festival existait depuis quatre ans, s’était construit sur une économie fragile, et peinait chaque année à repartir pour une nouvelle édition. La venue du maître américain s’annonçait de bon augure, et elle séduisit en effet les photographes encore réticents à faire le déplacement jusqu’à Arles. Dès lors, les amateurs comme les grands noms du XXe siècle – Jacques Henri Lartigue, Henri Cartier-Bresson, Gisèle Freund, Manuel Álvarez Bravo, W. Eugene Smith… – se donnèrent rendez-vous dans la cité camarguaise. Progressivement, Arles allait devenir la capitale de la photographie.

En 2016, Michel Tournier disparaît à son tour. Il était l’un des trois mousquetaires, cofondateur avec Lucien Clergue et Jean-Maurice Rouquette, en 1970 des Rencontres photographiques d’Arles. Peu savent que l’auteur de Vendredi ou les limbes du Pacifique ou du Roi des Aulnes animait, du temps de l’ORTF, une émission intitulée La Chambre noire, entièrement consacrée à la photographie. Dans de grands moments de télévision, Michel Tournier et Albert Plécy, rédacteur en chef de Point de vue, image du monde et fin connaisseur de la photographie, partaient pour 52 minutes à la rencontre des grands photographes. Ils se dénommaient Man Ray, André Kertész, Brassaï, Lucien Clergue… Dès la création du festival, la présence de Michel Tournier donna une petite touche parisienne à la manifestation arlésienne.

En 2019, l’année même de la célébration de la 50e édition, Jean-Maurice Rouquette s’est éteint dans sa 88e année. Il était l’Arlésien qui, en duo avec Lucien Clergue, avait façonné l’âme du festival. L’un incarnait un art contemporain – la photographie – dont la reconnaissance restait à conquérir, l’autre défendait le patrimoine d’une ville qui allait obtenir un double classement à l’UNESCO, pour ses patrimoines romain et roman. Visionnaires, bâtisseurs, profondément marqués par les dévastations de la guerre, ils participèrent à leur manière à la reconstruction de la ville, tandis qu’Arles devenait le point de convergence de tous les passionnés de photographie. Ensemble ils avaient eu l’intuition géniale qu’il fallait offrir aux festivaliers une expérience globale, que la découverte de lieux d’exception participerait largement au succès de la visite. En quelques années, ils créèrent une communauté, une famille, proposant d’emblée, à côté des expositions, des projections, des ateliers, des débats et même un safari-photo ! Dès l’origine, ils firent de la reconnaissance institutionnelle de la photographie un acte militant. La première édition se composait de trois expositions manifestes, La Photographie est un art, retraçant l’histoire des grandes expositions consacrées au médium, et deux monographies dédiées à Gjon Mili et Edward Weston, figures historiques de la photographie.

Aujourd’hui, comme un hommage à ces débuts tonitruants, nous recréons l’exposition Weston telle qu’elle fut présentée en 1970 et la faisons dialoguer avec les toutes premières oeuvres de Lucien Clergue, dont la minéralité saisissante résonne avec la vision directe et épurée du maître américain.

Ce cinquantenaire est par ailleurs l’occasion de commencer un travail de fond sur les archives et la collection de photographies constituées au fil des ans par les Rencontres. En effet, depuis le début, les photographes exposés qui le souhaitent nous ont laissé des oeuvres. En cinquante ans, nous avons constitué un trésor, une collection riche de plus de 3 300 oeuvres, précieusement conservée au musée Réattu.

Saisissant l’occasion d’écrire notre histoire, nous avons confié cette mission à Françoise Denoyelle, historienne passionnée de photographie. Elle a conçu deux livres, l’un richement illustré des oeuvres de la collection, l’autre plus théorique, racontant par le détail, la grande aventure des Rencontres d’Arles. À leur lecture, on comprend que le projet, initié par trois amis, est allé au-delà de leurs espérances. En quelques décennies, les Rencontres sont devenues une institution de référence, à l’indéniable rôle prescripteur, contribuant, selon leur souhait, à la reconnaissance de la photographie.

En l’espace de quelques années, les fondateurs du festival nous ont quittés.

En voulant perpétuer leur esprit de défricheur, nous avons conçu un programme foisonnant afin de célébrer le jubilé d’une aventure qui, en cinquante ans, n’a rien perdu de sa vitalité et de son acuité. Poursuivre l’aventure, c’est résoudre une équation aux paramètres divergents. Comment concilier une ambiance estivale et un esprit joyeux tout en s’imposant comme le moment fort du calendrier de la photographie ? Les enjeux d’hier conservent la même actualité. Arles demeure le lieu où les carrières se lancent, l’endroit des découvertes ou des manifestes, le festival où la manière d’exposer la photographie est sans cesse remise en cause à travers des scénographies audacieuses et des espaces d’expositions les plus inattendus.

Naturellement, donc, tout en racontant cette histoire et en saluant le travail de ceux qui se sont succédé depuis cinquante ans pour prolonger, par leur implication et leur talent, l’âme du festival, nous avons voulu, pour cette édition spéciale, regarder vers demain. Célébrer les cinquante dernières années tout en prospectant pour les cinquante prochaines… Une manière de continuer avec la même exigence notre mission de révélateur de tendances, de découverte de la nouvelle génération. Cette année, en complément de nombreuses expositions historiques – Helen Levitt, Variétés, Photo/Brut, Germaine Krull… –, nous proposons quatre nouvelles séquences qui thématisent le programme : Mon corps est une arme, À la lisière, Habiter et Construire l’image. Autant de thèmes qui portent un regard sur notre monde, celui-là même qui connaît des bouleversements majeurs où bien souvent l’image – comme témoin ou comme actrice – occupe une position centrale.

De l’ancienne Tchécoslovaquie à l’Allemagne communiste, en passant par l’Espagne tout juste libérée de Franco, la photographie façonne les contours d’une contre-culture, où la mise en scène de son quotidien devient une alternative aux modèles dominants, une résistance à l’ordre établi. Exister, résister, photographier, le corps aussi est une arme.

Où est ma maison, où est mon pays ? Les deux séquences suivantes revisitent le thème des frontières et des espaces domestiques, sources d’inspiration intarissables pour les artistes, en phase avec l’actualité. Alors que nous célébrons les trente ans de la chute du mur de Berlin, l’exposition Les Murs du pouvoir nous rappelle que les murs sont toujours d'actualité en Europe. Quant à l’expression « la zone », se souvient-on qu’elle qualifiait la zone militaire de 250 mètres de large autour de Paris ? Une zone inconstructible pour voir arriver l’ennemi qui se peupla progressivement de tous les sanslogis de la capitale. L’exposition La Zone raconte en images cet immense bidonville qui ceinturait Paris.

Nombreux sont les artistes qui aujourd’hui construisent l’image. En effet, une nouvelle génération de photographes donne une forme matérielle à leur installation photographique. À l’instar de Camille Fallet ou de Yann Pocreau qui investissent l’espace, jouent avec la lumière et détournent l’histoire de la photographie.

Parler d’hier, d’aujourd’hui et de demain, explorer sans relâche la photographie, s’engouffrer dans ses zones de friction, là où les artistes révèlent l’indicible : les Rencontres d’Arles n’ont de nouveau pas ménagé leurs forces pour vous livrer un programme ambitieux, éclectique, électrique. Merci à tous ! Merci aux artistes, merci à nos partenaires, merci aux nombreux compagnons du festival, merci à la fantastique équipe des Rencontres, merci à tous ceux qui cette année nous aident à réaliser cette édition démesurée ! Avec 50 expositions pour ses 50 ans, le festival aborde la crise de la cinquantaine avec un peu d’emphase, beaucoup de plaisir et surtout une grande envie de partager avec vous l’énergie débordante qui anime la photographie.

Happy birthday les Rencontres !






Programme

Avec 50 expositions, les Rencontres d’Arles s’affirment comme un observatoire de la création actuelle et des pratiques photographiques. Des rapprochements au sein de la programmation se déclinent comme des séquences. Ils permettent d’identifier des rubriques et favorisent, année après année, un suivi au plus près des évolutions de la photographie.

La 50e édition des Rencontres d'Arles est dédiée aux fondateurs du festival Lucien Clergue, Michel Tournier et Jean-Maurice Rouquette. Nous avons une pensée émue pour Xavier Barral et Jean-Maurice Rouquette qui nous ont quittés cette année.


• Mon corps est une arme [Exister, résister, photographier.]
Libuše Jarcovjáková
Evokativ
Corps impatients Photographie est-allemande, 1980 — 1989 {lien vers l'article}
La Movida, chronique d'une agitation, 1978 — 1988 Alberto Garcia-Alix, Ouka Leele, Pablo Pérez-Minguez & Miguel Trillo
Evangelia Kranioti Les vivants, les morts & ceux qui sont en mer
Pixy Liao Une relation expérimentale {lien vers l'article}

• À la lisière [Une cartographie des horizons et de leurs limites.]
Marina Gadonneix Phénomènes {lien vers l'article}
Philippe Chancel Datazone
Les murs du pouvoir Barrières bâties par l’homme à travers l’Europe
Mohamed Bourouissa Libre-échange {lien vers l'article}
Germaine krull Germaine Krull & Jacques Rémy, un voyage, Marseille - Rio 1941 {lien vers l'article}

• Habiter [État des lieux des espaces domestiques.]
Daphné Bengoa & Léo Fabrizio Bâtir à hauteur d’hommes, Fernand Pouillon & l’Algérie
Mario Del Curto Humanité végétale, le jardin déployé {lien vers l'article}
Home sweet home 1970 - 2018 : la maison britannique, une histoire politique {lien vers l'article}
La zone Aux portes de paris {lien vers l'article}

• Relecture [La photographie revisitée.]
Helen Levitt Observatrice des rues new-yorkaises
Variétés, revue d’avant-garde Bérénice Abbott, Florence Henri, Germaine Krull … La collection de l’Amsab révélée {lien vers l'article}
Eve Arnold, Abigail Heyman & Susan Meiselas The unretouched woman {lien vers l'article}
Tom Wood Mères, filles, soeurs {lien vers l'article}

• L'autre photographie [Tribune pour les accumulateurs et les obsessionnels.]
Photo | brut Collection Bruno Decharme & compagnie {lien vers l'article}
Cartes postales Nouvelles d’un monde rêvé {lien vers l'article}
La saga des inventions Du masque à gaz à la machine à laver, les archives du cnrs {lien vers l'article}

• Construire l'image [Pratiques matérialistes de la photographie.]
Valérie Belin Painted ladies {lien vers l'article}
Yann Pocreau Cathédrale
Laurence Aëgerter Cathédrales hermétiques
Claude Martin-Rainaud Camera obscura
Randa Mirza El-zohra n’est pas née en un jour
Camille Fallet License color photo studio
Marjan Teeuwen Destroyed house
The anonymous project The house
Sur terre Technologie & monde naturel

• Les plateformes du visible [Nouvelles approches du documentaire.]
Christian Lutz Eldorado {lien vers l'article}
Emeric Lhuisset Quand les nuages parleront {lien vers l'article}

• Émergences [Le festival est un défricheur, il va chercher les talents de demain.]
Prix Découverte Louis Roederer [10 artistes de moins de 45 ans présentés par 10 galeries.] {lien vers l'article}
Máté Bartha / Galerie Tobe : Kontakt
Steeve Bauras / Ycos-Project : White Dreams Extended
David De Beyter / Galerie Cédric Bacqueville : The Skeptics, Relics of Technological Goddess
Stacy Kranitz / Galerie Tracey Morgan : Tel qu’on me l’a raconté
Jj Levine / Galerie La Castiglione : Famille
Meryl Mcmaster / Galerie Stephen Bulger & Pierre-François Ouellette Art Contemporain : Aussi vaste que le ciel
Hanako Murakami / Galerie Taka Ishii : Conception
Shinji Nagabe / Galeria Da Gávea : La République des Bananes
Laure Tiberghien / Lumière Des Roses : Suite…
Alys Tomlinson / Hackelbury Fine Art : Les Fidèles

Lei Lei Cinéma romance à Lushan [Lauréat du prix Jimei x Arles Discovery Award 2018.] {lien vers l'article}
Kurt Tong Glace et jade, le rituel du peigne [Lauréat du Photo Folio Review 2018.] {lien vers l'article}
Guillaume Simoneau Murder
ENSP Une attention particulière

• Happy Birthday! [Un jubilé jubilatoire.]
Toute une histoire ! Arles a 50 ans, la collection des Rencontres
Clergue & weston Première expo, premières oeuvres
50 ans, 50 livres Chefs-d’oeuvre de la bibliothèque de Martin Parr

• Les invités [Les Rencontres d'Arles donnent une carte blanche à deux institutions amies qui, chacune à leur manière, explorent leurs relations aux images.]
La Fondation Arabe pour l’image Des possibles de la photographie
Opéra national de Paris 3e scène


 




Les satellites


Arles associé [Les institutions et les lieux arlésiens associés à la programmation des Rencontres. - entrée incluse dans le forfait]
LËT’Z Arles Claudia Passeri et Krystyna Dul
Fondation Manuel Rivera-Ortiz Hey! What’s going on?
ENSP Modernité des passions
LE NONANTE-NEUF
Association du Méjan
Camille Moirenc / Lionel Astruc & Erick Bonnier


• VR ARLES FESTIVAL [La réalité virtuelle (VR) comme une nouvelle écriture de l’image.]


• Arles books [Le livre de photographie dans tous ses états.]
Temple Arles Books
Les prix du livre
Luma Rencontres Dummy Book Award Arles 2019


• Grand Arles Express
[Le vent de la photographie souffle sur le Grand Sud…]
Avignon, Collection Lambert Vik Muniz
Cavaillon, Chapelle du Grand Couvent Le Luberon de Willy Ronis
L'Isle-sur-la-Sorgue, Campredon centre d'art Guy Bourdin L'image dans l'image
Marseille, Centre photographique Jean-Louis Garnell A picture for a while

Marseille, FRAC
Mohamed Bourouissa
Island
Caroline Corbasson À ta recherche

Marseille, Friche La Belle de Mai
Ludovic Carème
Brésils
40 Ans après La photographie contemporaine au Cambodge

Marseille, MUCEM
La fabrique des illusions
Collection Fouad Debbas & commentaires contemporain

Nîmes, Carré d'art
Rayyane Tabet
Fragments
Art Collection Telekom 30 ans après
Daniel G. Andújar Leader

Nîmes, Musée du Vieux Nîmes
Le Fonds Charles Perrier
Tatouage

Port-De-Bouc, Maison des Projets
Anne-Catherine Becker-Echivard
No fish no futur

Toulon, Hôtel des Arts
Harry Gruyaert
, Photograph

Toulon, Musée de la Marine
Raymond Depardon
1962 — 1963, Photographe militaire





• ARLES & Co. [Nos coups de coeur hors programme - Tarif privilégié sur présentation du forfait des Rencontres]
Fondation Luma Rachel Rose
Musée Réattu We Were Five {lien vers l'article}
Galerie Arena 15 Etés au Sud #2

 

 


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Arles-2018
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2183_Arles-2017
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