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“L’Arbre qui ne meurt jamais” article 872
au Théâtre des Sablons, Neuilly-sur-Seine

du 22 mars au 30 juin 2013



www.neuillysurseine.fr
www.theatredessablons.com

 

 

© Anne-Frédérique Fer, le 3 avril 2013.

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Légendes de gauche à droite :
1/  Dimitri Xenakis & Maro Avrabou, Les anges gardiens, 2013. © Dimitri Xenakis.
2/  Roland Cognet, Cyprès, 2008. Courtesy Galerie Claire Gastaud, Clermont-Ferrand. © Roland Cognet/Claire Gastaud.

 


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Interview de Florence Guionneau-Joie,
par Pierre Normann Granier, au théatre des Sablons, le 3 avril 2013. © FranceFineArt 2013.

 


extrait du communiqué de presse :

 

Commissaire : Florence Guionneau-Joie

 

La ville de Neuilly-sur-Seine présente au Théâtre des Sablons L’Arbre qui ne meurt jamais. L’exposition réunit une quarantaine d’artistes internationaux et une cinquantaine d’oeuvres.

 

Un parcours dense, guidé par les sens
Innovante, ludique et généreuse, l’exposition tend à montrer que l’Arbre, en tant qu’objet a constitué un répertoire de formes extraordinaires, et une sorte d’abécédaire mythologique, de signes, de symboles et de récits pour l’art contemporain. À travers un parcours mystérieux et des médiums aussi divers que la peinture, la gravure, la sculpture, la photographie, la vidéo, les installations, le public découvre les liens multiples qui unissent l’art contemporain et l’arbre.
La représentation de l’arbre est multiple et singulière. Il est au coeur des mythes, des religions. Il est signe et symbole, et peut prendre de nouvelles formes en permanence. Son caractère intemporel et universel n’a pas échappé aux regards des artistes, de toutes les époques.
Au XXe siècle, il a suscité l’intérêt de la plupart des courants artistiques dès le milieu des années 1950, comme le Nouveau Réalisme ou l’Abstraction lyrique. La révolution du « ready-made » usa et abusa de l’élément et revisita les mythes et allégories liés à l’arbre. L’art concret, le Land Art exploreront puissamment ce thème. Depuis les années 1990 jusqu’à nos jours, le regard que portent les artistes sur l’arbre ne cesse de se renouveler, de réinventer la représentation de ce sujet. D’abord objet in situ dans le jardin qui l’enclot, puis objet d’art visuel, il exprime aussi les fluctuations les plus subtiles de nos rapports à la nature.
L’exposition se présente au visiteur comme une expérience qui modifiera sans doute son regard sur l’environnement qui l’entoure. Il pénètre dans une forêt merveilleuse, constituée d’essences inconnues, puis dans des espaces oniriques.


Trois oeuvres incarnent les trois sections : David Nash, la naissance d’un paysage, Susumu Shingu, la vision onirique et sublime de la nature à travers l’arbre, Erik Samakh, la renaissance d’une parcelle de forêt qui repousse en direct, image du Grand paysage en streaming.
Ces trois oeuvres expriment la diversité de la représentation de l’arbre dans l’art contemporain. Elles font appel à des matériaux naturels aussi bien qu'à la très haute technologie. Elles mettent en avant le réel et l’artificiel, le vivant et le non vivant. Placées en position dominante dans l’espace, chacune d’elles communiquent avec les différentes zones d’expériences de l’exposition et relient les oeuvres entre elles.