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“Benoît Maire” Le fruit est défendu
© Anne-Frédérique Fer, le 5 avril 2013. |
Légendes de gauche à droite :
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Interview de Thomas Bernard, directeur et créateur de Cortex Athletico,
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extrait du communiqué de presse :
Du 6 avril au 25 mai, le nouvel espace parisien de la galerie bordelaise cortex athletico accueille une exposition inédite de Benoît Maire intitulée Le fruit est défendu, première monographie de l’artiste à Paris pensée en résonance à Weapon*, importante exposition personnelle qui lui est parallèlement consacrée à la David Roberts Art Foundation à Londres (jusqu’au 11 mai). L’exposition rassemble une quinzaine d’oeuvres : peintures, sérigraphies, photographies, sculptures, installations et objets. * Weapon est la première exposition personnelle de Benoît Maire à Londres. Elle présente des sculptures, photographies et films inédits produits pour l’occasion, dont notamment son dernier film dans lequel l’art devient une sorte de terrorisme esthétique, ainsi qu’un ensemble de sérigraphies de dix mètres de long. Elle s’articule autour de deux thèmes principaux : la confrontation entre nature et culture, et entre appareils de mesures et armes. L’exposition, dont les commissaires sont Vincent Honoré et Nicoletta Lambertucci, est produite par la DRAF avec le soutien de l’Institut Français et de Fluxus, en collaboration avec la Fondation Giuliani de Rome.
Galerie cortex athletico, une nouvelle galerie d’art contemporain à Paris Le 15 février dernier, la galerie d’art contemporain bordelaise cortex athletico a ouvert un nouvel espace à Paris, dans un ancien atelier de photographe de 110 m2, à quelques pas du Centre Pompidou. Après avoir développé avec succès la structure depuis 2003 et défendu avec ferveur une jeune génération d’artistes aujourd’hui reconnue, son fondateur et directeur Thomas Bernard est venu chercher, au sein de cette dynamique plateforme que représente Paris, de la vitesse, du frottement et de la circulation.
Cortex athletico, histoire d’une structure dédiée à l’art contemporain L’outil spécifique que la galerie a développé depuis dix ans lui permet aujourd’hui de pouvoir accompagner de nombreux projets à travers un système d’ateliers, de production, de « showroom », de cartes blanches faites à des commissaires, et tout format autorisant la mise en vitesse d’une proposition artistique. La galerie, en tant que structure, est au service d’une démarche, et le lieu, en tant que terrain, est synonyme d’expérience. Ceci permet de développer des projets hors les murs et d’accueillir des propositions extérieures. Selon cette idée de ne pas être contraint par ses murs, sa localisation et son calendrier, la galerie déploie régulièrement des propositions à l’étranger, sous la forme d’expositions courtes. Dans le grand espace ouvert en 2008, elle présente douze expositions par an, et plus de vingt événements se sont concrétisés en collaboration avec d’autres structures et festivals artistiques. Une salle de projection a également été construite. Entre 2009 et 2012, la galerie a ainsi accueilli un programme vidéo intitulé China Girl, une sélection d’œuvres d’artistes internationaux autant émergents qu’historiques proposée par Marie Canet. En 2012, un espace permanent dédié aux archives de Rolf Julius est ouvert (consultable sur demande). |