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Légendes de gauche à droite :
1/ © Atsunobu Kohira, vue de l’exposition, photographie © Anne-Frédérique Fer.
2/ © Atsunobu Kohira, vue de l’exposition, photographie © Anne-Frédérique Fer.
3/ © Atsunobu Kohira, vue de l’exposition, photographie © Anne-Frédérique Fer.
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Interview de Atsunobu Kohira,
par Pierre Normann Granier, à Paris, le 16 avril 2013, durée 4'53". © FranceFineArt.
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extrait du communiqué de presse :
« Les parois de l’installation d’Atsunobu Kohira, recouvertes de coussins blancs rappelant la forme des cocons, transforment totalement l’espace de l’exposition.
Cette enveloppe d’aspect soyeux est traversée par l’arrière d’une lumière blanche. Le spectateur une fois à l’intérieur se trouve englobé par l’installation, où une immersion sensorielle est privilégiée. L’oeuvre le sollicite physiquement (vue, ouïe, toucher…) et psychologiquement. Les bruits de l’extérieur sont tamisés, laissant place à un silence absorbé.
Le spectateur est ensuite attiré par un globe en verre placé à environ un mètre du sol au centre de l’installation. De légers sons s’en échappent, proches de ceux de battements d’ailes de papillon.
Il s’agit en fait de la vibration des cocons disposés sous cette cloche en verre. Les mouvements fébriles de ces cocons contrastent délicatement avec cette ambiance feutrée.
Cette installation dégage une impression de fragilité ainsi que de préciosité. à l’instar de Infravoice ou City Sound, Atsunobu Kohira matérialise ici le son. Il crée un “corps spatial” invitant à la contemplation et à laisser libre cours à nos sens. »
Leïla Simon
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