contact rubrique livres & édition : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Livres

 

“Vers l’Orient”   Photographies de Marc Riboud
 Editions Xavier Barral, 2012

 Prix Nadar des Gens d’images, 2012

 

www.marcriboud.com

005_livres_Orient-Riboud_1005_livre_Orient-Riboud_2005_livre_Orient-Riboud_3

légendes de gauche à droite :
1/  Marc Riboud, Indes, 1956.
2/  Marc Riboud, Japon, 1958.
3/  Marc Riboud, Chine, 1957.

 


005 Marc Riboud Interview de Catherine Riboud,
par Pierre Normann Granier, le 21 janvier 2013 à Paris, durée 3'34".
© FranceFineArt

 


 

Le Prix Nadar récompense depuis 1955 un livre consacré à la photographie ancienne ou contemporaine édité en France au cours de l’année. Il est attribué en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France et la Fnac, sous le haut patronage du Ministère de la Culture et de la Communication.

Le jury, présidé par Agnès Sire, directrice de la Fondation Henri Cartier-Bresson, et accueilli à la Bibliothèque nationale de France par Sylvie Aubenas, directeur du département des Estampes et de la photographie, a délibéré ce jeudi 29 novembre 2012.
http://gensdimages.com

 

Vers l’Orient, de Marc Riboud. Photographies et textes de Marc Riboud

Turquie, Iran, Afghanistan, Pakistan, Inde, Chine puis Japon : sept pays traversés par Marc Riboud entre 1955 et 1958. Vers l’Orient, véritable carnet de notes visuelles, réunit les plus belles photographies prises lors de ce long et lent voyage. Désireux de découvrir ces civilisations millénaires, il s’arrête d’abord à Istanbul, avant de poursuivre son chemin par les admirables paysages d’Anatolie. Il traverse la Perse pour rejoindre l’Afghanistan et ses zones tribales. En 1956, il arrive en Inde, qu’il sillonne pendant près d’une année. C’est de là qu’il entre en Chine communiste. Il termine son « grand tour » au Japon en 1958, alors en pleine reconstruction après la guerre et en pleine mutation sociétale. Ceux qui connaissent l’Orient d’aujourd’hui découvriront peut-être dans ces photos ce qui reste quand tout semble changer, et, derrière l’occidentalisation grandissante, le fil caché de l’intemporalité.